Faux départ !

Bon ce matin j’ai pas eu la baraka…

C’était LE grand matin pour la bambino, 130 kms d’autoroute pour rejoindre Lutry…

Départ à 06h00 de la maison, arrêt à la station service… et premier hic : j’ai cassé la clé dans le bouchon d’essence (qui au passage étati déjà ouvert 🙁 ) !!! Bon je me formalise pas, je fais le plein…

En reposant le pistolet je vois que c’est … du Diesel ! Caramba, la pub collée sur le pistolet (toute verte) m’a induit en erreur…

Je pars donc à la recherche d’un tuyau et d’un sceau, et un coup de siphon plus tard, quand j’arrive plus à sortir la moindre goutte par mon tuyau, je teste un remplissage… mais bon j’ai pu mettre que 10l sur les 21 que contient le réservoir. Donc basta, j’ai laissé la voiture là, j’ai repris ma vieille Golf, dans la semaine j’irai déconnecter la sortie du réservoir et vider tout ça.

Décidément, entre la rouille, la rondelle, le déculassage, et maintenant le diesel, c’était pas la bonne période pour la bambino !!!!!

Croisons les doigts pour que ça reparte d’un bon pied sous peu 🙂 !

Changer l’ensemble de commande de vitesse

Changement de l’ensemble des commandes de vitesses :

Là aussi pas de grande difficulté. Chez moi la bague en caoutchouc qui est dans le boitier sortait et m’empêchait de passer la marche arrière. J’ai donc trouvé l’ensemble complet chez Peter (35€) histoire d’êtretranquille. Pour le changement j’ai opéré comme suit :

  1. virer la moquette qui est sur le conduit du chauffage entre les sièges
  2. sortit également la partie avant du tunnel (sous le tableau de bord)
  3. enlever les 2 boulons de réglage de la commande de vitesse (sur le côté droite du tunnel de chauffage)
  4. sous la voiture désolidariser la tringle du silentbloc (côté « avant » de la voiture)
  5. voilà vous pouvez sortir la commande complète par l’avant du tunnel
  6. remettez la nouvelle commande en place (attention à pas emmêler les câbles). Pour réussir à entrer la tige dans le petit trou au bout (derrière) du tunnel de chauffage vous pouvez ouvrir la petite plaque qui se trouve juste en bas des sièges arrières et qui vous donne accès au bout du tunnel.
  7. replacez l’ensemble de commande au mieux et replacez les 2 vis sans les serrer (on le fera plus tard pour les réglages)
  8. passez sous la voiture et reconnectez le silentbloc
  9. réglez la place du boitier de vitesses en testant un passage de chacune et serrer les vis sur le côté du tunnel
  10. remettez en place la partie avant du tunnel
  11. replacez la moquette
  12. à votre guise vous pouvez maintenant installer un magnifique pommeau 😉 !

Et voilà vous avez un tout nouvel ensemble de commande de vitesses ! C’est pas long, pas cher et vite monté !

Hé bé on dirait que cette fois la boite va pas exploser !!!

Hé oui, j’ai enfin réussi à monter cette boite de 126 et à la tester, et ôh miracle j’ai pu faire 15 bornes (7 kms de descente et 7 kms de… montée bravo ! le km restant c’était parce que j’ai tourné un peu en rond dans un giratoire 😉 ) et la boite a pas pété !!

Pas trop de bruits suspects, pas de craquements, les vitesses passent toutes, enfin, tout semble OK quoi !

Maintenant j’ai vraiment été surpris par la longueur des rapports !!! Pffiou c’est autre chose que la boite de la 500 !!! Au plat je me suis surpris à 80 en 3è (je pense que je roulais effectivement à 70-75 vu la marge d’erreur) mais bon ça fait bien plus qu’avant ! La synchronisation c’est aussi super agréable, surtout en descente ! Le double-débrayage, donc le pas de freinage juste avant le contour c’est toujours terrifiant !!! Donc là vraiment la classe !

Par contre faut bien dire que pour la montée ben… ça tire au cul ! Autant cette boite c’est chouette au plat et à la descente, autant j’ai pas été convaincu pour la montée !

Alors pour l’instant je vais tester comme ça quelques temps, et ensuite je verrai si je laisse cette boite ou si je reste (définitivement) sur une boite de 500 !

L’idéal… ça serait une boite de 500 avec synchronisation… Un jour, peut-être…… 🙂

La boite synchronisée est prête !

Bon hier a été une soirée faste : en deux heures j’ai pu aller assez loin dans ce que j’avais planifié :

  • faire des repères sur les support de roulements !!!
  • démontage des supports de roulements de différentiel
  • démontage de la cloche de boite de la boite 126
  • sortie du groupe différentiel
  • démontage du groupe différentiel
  • démontage du groupe différentiel de la boite foutue pour sortir les arbres de roues uniquement (je voulais conserver un couple conique apairé…)
  • changement des arbres
  • remontage du groupe différentiel
  • remontage de la cloche avec pâte à joints et loctite
  • remontage des supports de roulements selon les repères avec pate à joint et loctite
  • remplissage avec 1.1l d’huile

Voilà donc la boite semble tout OK, j’ai testé à la main et tout semble impec. Les vitesses passent, rien ne semble couler ni crocher… J’aime autant vous dire que cette fois j’ai pris garde à pas toucher aux réglages des portes-roulements 😉 !!

Me reste donc juste à :

  • déposer du moteur – boite de la 500
  • monter la boite de 126 sur le moteur
  • remonter l’ensemble moteur-boite de 126 sur la 500

Ah oui, une petite combine : cette fois les repères sur les portes roulements je les ai faits en appliquand un petit coup de dremel… La dernière fois le stylo indélébile avait pas résisté à la brosse métallique que j’avais utilisé pour nettoyer le porte-roulement et le carter de boite ! Avec mon petit coup de Dremel y a eu aucun problème et la marce est persistante 🙂 !!

On la monte cette boite de 126 ?

Bon vous vous souvenez oì j’en suis maintenant avec ma mécanique ?

Petit rappel : lors de mes derniers montages / tests j’ai explosé la boite de 126 que j’avais monté. J’avais donc remonté le moteur de 126 avec la boite d’origine de la 500 !

J’avais en tête de commander de quoi retaper la boite, mais avec l’arrivée des pièces qui accompagnaient la 126, je revoir un peu l’histoire… En effet, dans le lot j’avais une boite et une cloche de 126 sois-disants révisés… Je vais donc rien toucher à cette boite qui ne fuit pas du tout, et qui semble OK côté pignons (bien entendu la 1ère a un peu morflé mais sinon tout semble OK), je vais juste lui monter les arbres de 500 renforcés et basta !

Au programme donc :

  • faire des repères sur les support de roulements !!!
  • démontage des supports de roulements de différentiel
  • démontage de la cloche de boite de la boite 126
  • sortie du groupe différentiel
  • changement des arbres
  • remontage du groupe différentiel
  • remontage de la cloche
  • remontage des supports de roulements selon les repères
  • dépose du moteur – boite de la 500
  • montage de la boite de 126 sur le moteur
  • remontage de l’ensemble moteur-boite de 126 sur la 500
  • boire une bière !

Eh oui un peu de taf en perspective mais là ça devrait le faire ! Comme je disais la boite semble en bien bon état, pas de problèmes, un peu d’usure sur le pignon de 1è mais c’est tout…

Je vais donc m’y atteler à l’occase et faire quelques clichés pour vouv montrer tout ça !

Hummm…. vous sentez l’odeur du cambouis 😉 !!!

Régler les portes-roulements de différentiel !

Un sujet qui est régulièrement abordé et qui semble bien compliqué est le réglage des roulements de différentiel.

J’ai eu cette mauvaise expérience : j’ai remonté mon moteur et ma boite de 126 sur ma 500, puis lors des premiers tours de roues j’ai senti que « ça crochait »… Comme si le frein à main était resté tiré…. Les symptômes étaient les suivants :

  • voiture sur les chandelles, je fais tourner les roues en 1ère… Déjà il me semble que c’est dur de pas caler, mais en douceur on y arrive… Ensuite je monte un peu les tours, les roues tournent assez rapidement, je débraye, elles s’arrêtent quasi net !
  • voiture en légère descente, je m’arrête, passe le point mort, j’avance pas… comme si les freins étaient action
  • par contre le différentiel fonctionne impec : quan je tourne une roue dans un sens l’autreroue tourne dans le sens opposé sans aucune résistance.

Après avoir demandé de l’aide sur le forum, Mitch (comme à chaque fois, merci Mitch) m’a orienté vers le réglage des porte-roulements de différentiels…

De quoi s’agit-il exactement ?

Comme on le voit sur cette photo, l’ensemble différentiel est « encadré » par deux roulements coniques, qui sont eux-mêmes ajustés en bonne place dans la boite par deux portes-roulements. Les portes-roulements ce sont les parties entourées en rouge…

Voici un porte roulements en détail :

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Et voici comment il se démonte :

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En fait, les porte-roulements sont composés de 3 pièces : le support qui vient se fixer contre le carter et la cloche de la boite (au centre sur la photo suivante), puis à l’intérieur de ce carter un écrou cannelé qui se vis dans le support(à droite), et au final une très grosse rondelle « conique » contre ou dans laquelle le roulement vient prendre appui (à gauche) :

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Le principe du réglage est donc le suivant : en vissant l’écrou cannelé, on va serrer le roulement en direction du centre de la boite, et en le desserrant on va éloigner le roulement du centre de la boite.

voici par exemple deux photos qui montrent le même roulement sur lequel on a serre plus ou moins le gros écrou cannelé,. et donc où la rondelle conique ne sera pas en même position :

Là moins serré :

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Et là plus serré :

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En jouant sur les 2 supports, le but va donc être de réussir à positionner le différentiel (particulièrement la couronne) bien en place par rapport au pignon d’entraînement, ni trop serré, ni trop éloigné, pour que tout roule impec de ce côté là.

La marche à suivre est la suivante : sans la cloche de boite, tu installes le différentiel avec les arbres dans la boite, puis tu fixes le différentiel à la boite en serrant les écrous de retenue des porte roulements. Une fois que tout est en place, il faut tester le jeu en saisissant la couronne en main et en lui faisant faire des petits va et viens de haut en bas (ou de gauche à droite si vous avez tourné la boite de 90°), vous devrez sentir un très léger jeu mais très léger (1/10è de mm selon Mitch).

Si le jeu n’est pas bon ou que le centrage est mauvais serrez / desserrez les écrous cannelés (en vous aidant d’un tournevis plat et d’un petit marteau) des porte roulements… je peux pas trop vous dire comment faire parce que j’ai pas été très fort pour cette opération mo i la boite de 126 est toujours HS… 🙁 ! Mais en théorie c’est ça…

Une fois que tout est bien centré, il faut tester que ça soit vraiment bon! Je l’ai pas fait au début et ça m’a coûté un redémontage – remontage complet, dont je me serai bien passé ! Donc pour tester vous pouvez faire plusieurs choses :

– enfiler un disque d’embrayage dans l’arbre primaire et faire tourner (dans le sens des aiguilles d’une montre) la boite plusieurs dizaines de tours, avec et sans vitesse enclanchés. Sans les vitesses enclanchées vous devriez ne pas avoir les arbres de roues qui tournent, ou du moins vous devriez pouvoir les bloquer à la main sans autre (attention il faut les bloquer les 2 à la fois donc vous aurez besoin de qqn qui tourne le disque pendant ce temps), comme vous serez au point mort les roues doivent pas être entraînées. Avec un rapport engagé, les arbres doivent tourner (plus ou moins vite et dans un sens ou dans l’autre selon la vitesse enclanchée). Testez bien cela avec tous les rapports !

– bien entendu testez le passage de toutes les vitesses (moi je m’aidais en mettant un petit tournevis dans le trou du levier).

– vous pouvez aussi faire le test suivant : sans rapport enclanché, saisissez les deux arbres de roues et tournez-les dans le même sens… L’arbre primaire ne devrait pas tourner, ou du moins là aussi vous devriez pouvoir le bloquer facilement à la main. De même faites le même test avec un rapport engagé, là l’arbre primaire va tourner rapidement sans qu’il soit possible de le bloquer.

Voilà donc là vous avez testé que toutes les vitesses passent, ainsi que rien ne croche… C’est bon signe !

Comme je vous disais je voulais faire un petit billet sur ce que j’ai compris de ce réglage mais j’ai toujours un problème sur ma boite donc prenez ces infos avec prudence, je ne sais pas si qqch dans la marche à suivre est faux, si jamais les cadors n’hésitez pas à me faire signe je modifierai le billet 😉 !

Descendre le moteur seul et sans outillage de pro…

Ah oui, je voulais aussi faire un petit billet sur la marche à suivre pour descendre le moteur de sa Fiat 500… Parce qu’on lit partout que c’est facile, que chacun peut le faire juste avec un cric, etc etc etc… Donc j’ai testé pour vous !

Je vous rappelle un peu la situation : devant chez moi je n’ai que de la pelouse pas tout à fait à plat, et je « bricole » dans une cabane de jardin qui est par rapport à cette pelouse juste au sommet d’un tout petit talus d’un petit mètre… La cabane bien entendu n’est pas assez grande pour y entrer l’arrière du véhicule, donc la seule solution c’est de réussir à enlever le moteur sur la pelouse !

Pour trouver un support plat, j’ai glissé entre les roues une grande planche qui faisait tout juste l’espace disponible entre la roue gauche et droite. C’est important de trouver une planche qui n’est pas trop petite car c’est sur celle-là que les chandelles vont venir s’appuyer (pour éviter qu’elle ne s’enfoncent dans la pelouse). Il est aussi possible de mettre une petite planche de chaque côté sous les chandelles et une autre sous le moteur pour le moment où on le retire.

Pour info, je suis pas équipé comme un pro, j’ai acheté un cric hydraulique 2t à 30€ au brico machin du coins… Juste veiller à ce qu’il soit monté sur roulettes (dont 2 qui tournent dans tous les sens). Voici le genre de cric que j’ai :

cric.jpg

Donc on pose le cric sur la planche, et on lève la voiture par le carter d’huile (prévoir une petite planche entre le cric et le carter). Pour l’opération j’ai remarqué qu’il ne faut pas hésiter à surélever l’arrière au max (en mettant par exemple plusieurs planches sous le cric au moment du levage) pour bénéficier ensuite d’un maximum de place sous la voiture pour les branchements / débranchements. Donc on lève la voiture, et une fois en faut on la pose sur les chandelles. Pour les chandelles idem achetées au brico machin, ce genre de truc :

chandelles.jpg

Voilà, tout est bien calé (ici que sur les chandelles, j’ai pas e cric en place)…

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Maintenant débranchez les divers câbles (démarreur, gaz / starter, fils électriques de votre alternateur / dynamo, etc…), ainsi que le câble d’embrayage sur lequel il faudra dévisser les 2 écrois de retenue.N’oubliez pas de désserrer le support de câble d’embrayage vers le nez de la boite. Débranchez aussi le câble de compteur km, ainsi que la commande de passage de vitesses. Vous pouvez aussi débrancher et démonter votre démarreur à ce moment-là !

Une fois que tout cela est fait, j’ai mis une bûche sous le nez de boite pour la retenir, et j’ai démonté le support de boite (en passant non plus par derrière la voiture mais par les côtés. Démontez également les tulipes (por atteindre les boulons qui sont derrière faites tourner la roue -> ne tirez pas le frein à main 😉 !!). Attention à ne pas perdre le petit ressort qui se trouve dans le bout de l’arbre de roue.

Voilà, tout est déconnecté. Reste donc à descendre le moteur… Replacez votre cric sur le carter d’huile, un peu sur l’arrière… Levez jusqu’à ce que le moteur remonte un peu dans le compartiment moteur, et une fois que c’est fait désserrez les 4 écrous de fixation de la traverse arrière (c’est la partie de carrosserie qui est derrière la pare-choc arrière). Lorsque vous enleverez le 4è écrou attention à tenir le moteur il va bouger … Tenez-le d’une main en équilibre sur le cric, et de l’autre dégagez la traverse arrière. Voilà, le moteur est désolidarisé de la voiture.

Descendez DOUCEMENT le moteur tout en le maintenant en équilibre (à cause le la bûche le nez va rester en l’air mais au moins ça sera plus facile à tenir en équilibre puisque seul le basculement gauche-droite est possible… ) et une fois tout en bas reculez-le en faisant rouler le cric vers l’arrière. C’est pour ce mouvement qu’il est important d’avoir une planche solide sous le cric 😉 !

Voilà, vous avez maintenant l’accès à votre moteur, à votre boite, y a pas eu de casse et il fallait pas forcément être équipé comme un garagiste…

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PS : si votre local s’y prête mieux, vous pouvez aussi

1. caler votre moteur en le surélevant légèrement (avec des briques par ex)

2. débrancher le tout

3. une fois tout débranché / déconnecté il vous suffira d’avancer votre voiture en la roulant…

Comme mon terrain est pas totalement plat ça se prêtait pas tellement mais sachez que pas mal de gens le font et ça marche bien.

PS2 : vous pouvez aussi remplacer le cric à roulettes par un transpalette si vous avec la place et le matos 😉 !

PS3 : Voici un très bon lien sur toutes les étapes d’un démontge de moteur de Fiat 500

Bien tester avant le remontage !

La partie que j’ai trouvé la plus pénible est sans conteste le montage / démontage des parties boite et moteur sur la voiture. On est couché par terre, sans cesse couché – debout, plein de saloperie qui te tombe sur le visage, dans les cheveux, dans les yeux… Enfin, autant essayer de minimiser le temps passé sous la voiture, on est bien mieux dans son petit atelier !

Donc avant de descendre le moteurpour le remplacer, essayez de tout bien tester ! Ca vous évitera de devoir tout redescendre et de tout remonter plusieurs fois, ce que j’ai eu à faire.

Pour tester le moteur, essayez de le démarrer avant de le monter. C’est facile, pas dangereux, et vite fait ! Essayez donc de démarrer le moteur, de régler le ralenti, de monter un peu dans les tours, enfin faites un peu le tour de ce que vous avez monté / touché, contrôlez que vous n’avez pas de fuite, une durite c’est bien plus aisé à changer dehors qu’une fois dans le compartiment moteur ! Après ces tests faites encore un petit check des écrous et boulons pour vérifier que vous en avez pas oublié (c’était le cas pour moi pour le bouchon de vidange que j’avais simplement vissé à la main !!!).

Pour la boite à vitesses, les contrôles suivants peuvent être effectués :

  • passage des vitesses : en s’armant d’un petit tournevis essayer de passer successivement chacune des vitesse de la boite !
  • différentiel : en tournant un arbre de roue dans un sens, l’autre arbre doit tourner dans le sens opposé sans crocher.
  • alignement de la couronne et du pignon : avec une vitesse enclenchée, essayez de faire tourner l’arbre de la boite (la partie qui va dans le moteur) à l’aide d’un vieux disque d’embrayage, sur plusieurs tours. Ca ne doit pas claquer, ni crocher, ça doit tourner vraiment à l’aise… C’est ce tet que je n’ai pas fait et qui m’a valu un démontage complet ! Vous pouvez aussi tourner les deux arbres de roues ensemble et en même temps, vitesse enclanchée (attention au sens de rotation des arbres…) en les saisissant par les tulipes, en contrôlant que l’arbre de la boite tourne bien. Si tout est OK ça doit tourner pas forcément tout seul, y aura de la résistance, mais ça doit tourner… Je suis pas Hulk et j’arrivais à faire tourner sans trop de problèmes sur ma boite de 500 !
  • profitez de bien mettre l’huile dans la boite (vous pouvez facilement la mettre de niveau lorsqu’elle est dehors), juste les 1.1l ou jusqu’au boulon de remplissage de la boite.

Voilà, une fois le tout bien testé vous ne devriez pas rencontrer de problèmes pour le remontage ! Courage, vous y êtes presque ! 😉

Galère au premier remontage !

Bon alors voilà, la boite était prête (…), le moteur aussi… Donc je me lance ! Je descend le moteur, la boite (seul c’était un peu le folklore…), je remonte la boite de 126, et le moteur de 126, je règle le levier de vitesses et c’est parti pour un essai (à lire comme ça on dirait que c’est fait un 5 minutes mais pour moi c’était 5 à 6 bonnes heures de galère…).

Donc après maints essais et le changement de deux condos (!!!) la voiture démarre, les vitesses passent, l’embrayage est ok, donc j’éteins tout, je descend des chandelles et je rallume le moteur. C’est parti pour une petite marche arrière, et bon ça recule mais il me semble que les freins sont tirés…

Je descend contrôler mais non les freins sont pas tirés, ni le frein à main, c’est bien les arbres de roues et donc la boite à vitesse qui croche. ça roule mais ça croche… Je fais quelques mètres d’essai mais non pas la peine d’essayer de rouler comme ça ! Si seulement j’avais bien contrôlé avant ! Aie aie aie donc va falloir démonter pour tout remettre d’aplomb ! Pas envie de tout casser en étant têtu !!!!

Donc c’est reparti, alors que je croyais que j’avais fini !!!!! Démontage de la boite de 126, du moteur de 126, et c’est parti pour essayer de voir ce qui joue pas dans cette boite.

Les symptômes sont les suivants : le différentiel fonctionne très bien (voiture sur les chandelles ou boite démontée, en tournant une roue l’autre roue tourne dans le sens inverse), par contre l’arbre principal (la tige qui s’enfonce dans le moteur) elle ne tourne qu’avec grand peine, et surtout des craquements se font entendre… C’est bien à cause de cela que j’avais l’impression que les freins étaient toujours tirés, ça crochait à ce niveau-là !

Après avoir tout démonté et essayé de remonter plusieurs fois je remarque que ça ne change rien, ça croche toujours. Alors c’est décidé, je monta ma boite de 500 avec la cloche de 126 et je remonte le tout sur la voiture… Et là, tout est OK ! Là, je vous promet que j’ai tout testé dans tous les sens avant de remonter !!!

Concernant le problème de ma boite je ferai un billet spécifique là-dessus prochainement quand j’aurais résolu tout ça grace à mes consultants spéciaux Fiat500 (Mitch et consors 😉 !!)

Changer le joint spi de la boite à vitesses

Bon, voici à nouveau une opération qui semble tout simple mais qui m’a fait suer pendant plusieurs loooooooongues minutes : le changement du joint spi de la boite à vitesses !

Le joint spi se trouve sur un support dans la cloche d’embrayage, autour de l’arbre

Le support est tenu par un boulon de 10, vite enlevé. Pour avoir accès au joint spi, il faut tout d’abord retirer la grosse bague en laiton qui tient le joint en place… Et c’est là que ça se corse ! En effet, cette bague tient très très bien dans le support. Après avoir essayé de sorir ça en douceur (dégrippant, …) j’ai opté pour la solutin plus bourrin de retourner la pièce et de sortir la bague au marteau (en tapant sur la bague par dessous via un tournevis).. Un coup ou deux, on déplace le tournevis d’un quart de tour, etc… et au final ça sort. Attention à essayer d’être le plus « léger » possible mais bon faut tout de même réussir à le sortir alors faut y mettre du coeur 😉 ! Et ce n’est que le début.

Une fois dehors, il reste à sortir le joint spi lui-même… Hé hé hé la meilleure partie ! Bon passons les injures et les essais infructueux, pour moi la solution a été (au bout d’une bonne demie-heure d’essais infructueux) d’endommager le joint spi via un petit burrin puis gentillement décoller le joint, pour finalement le sortir tout déformé (j’ai du faire levier avec un grand tournevis pour le plier complètement)… L’opération a un peu marqué le support mais à la vue de mes coups de marteau des leviers violents faits avec mon gros tournevis, le support a sacrément ben résisté !

Nous voilà donc avec un support de joint spi, une grosse bague de laiton et un joint spi tout pourri et disloqué…

Pour le remontage il va falloir bien replacer le nouveau joint spi, bien au fond du support. Pour cela, le plus simple moyen que j’ai trouvé c’est de s’équipe d’une douille de 19 qui a juste le diamètre intérieur du joint spi.

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Une fois bien placé, il suffit de rentrer le joint en tapant au maillet sur la douille.

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Et voilà, plus qu’à mettre la bague en place et le tour est joué.

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Comme vous avez certainement commandé le kit de joints de boite, n’oubliez pas de changer le joint torique autour du support avant de le remettre en place.

Ah et une dernière chose, lorsque vous mettez le support en place, n’inversez pas le sens de dernier. Ca m’est arrivé et ensuite la butée d’embrayage ne tient pas en place. Donc le gros côté court va DANS la cloche de boite, et le côté plus fin et plus long reste dehors… Et là tout va bien !

Changer les arbres de roues

Pour adapter une boite de 126 sur une 500, il faut monter des arbres de roues courts (de 500) et renforcés. Il faud donc « changer les arbres de roues ». Cette opération est très très souvent citée dans les forums etc… mais il m’a été impossible de mettre la main sur des photos de l’opération… Et pour moi, ça veut pas dire grand chose changer les arbres de roues.

Je l’ai donc fait et je vais essayer d’en faire une petite explication.

Tout d’abord, il faut dévisser les joints qui entourent les arbres à leur base, à la sortie de la boite à vitesse. Pour cela, il faut dévisser 4 ou 6 boulons pour le joint lui-même, puis à nouveau 4 ou 6 boulons pour la pièce métallique pseudo-ronde qui tient tout ça en place. Sur la photo on le voit on va enlever en fait la parite qui entoure les arbres (un peu dessous la tache rouge sur la photo).

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Une fois que cela est enlevé, on peut au sans autre regarder le bout de l’arbre, et enlever la bague d’arrêt qui bloque le bibax sur l’arbre. Attention, ça saute loins cette petite pièce ! Une fois enevlée, vous pourrez sortir le bibax, et toute la partie de joints que vous avec dévissé juste avant.

Vous vous retrouvez donc avec une boite qui a des arbres autour desquels on voit de bien jolis roulement et qui devrait à peu de choses près ressembler à cela :

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Maintenant, regardez le dedans de la cloche, vous y verrez la butée d’embrayage, un sorte de très grosse rondelle qui est sur la tige cannelée qui sort de la boite. Enlevez les 2 clips qui la tiennent en place et retirez-la. Puis dévissez les 6 gros boulons qui fixent la cloche à la boite. Vous pouvez maintenant sans autre dégager la cloche :

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En retirant la cloche, vous voyez le groupe différentiel. Vous pouvez alors sans autre difficulté le sortir car il est juste « coincé » entre la boite et la cloche.

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Et voilà on peut maintenant mettre tout cela de côté et travailler sur le groupe différentiel qu’il va falloir désosser pour sortir les arbres et les remplacer par les nouveaux plus courts et renforcés.

Voici donc une vue du groupe de différentiel de plus proche :

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Pour le démontage il faut tout d’abord enlever les 8 boulons afin de pouvoir sortir le premier arbre. Une fois les boulons enlevés, on peut séparer les deux pièces :

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On voit apparaitre alors sur la droite de la photo un engrenage dans lequel vient se caser l’arbre. Voici le dedans de cette pièce (??? le nom ???) :

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Il suffit donc de pousser l’arbre dehors, de récupérer les deux petites cales carrées et de tout nettoyer, graisser et ranger en documentant le côté dont il s’agit.

Pour l’autre arbre, on voit qu’on va avoir un obstacle de plus à enlever, c’est le différentiel (la tige avec les deux petits engrenages au bout) :

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Il faut démonter la plaquette de frein de la cage de différentiel, c’est la plaque qui est tout autour du différentiel (elle est en alu). Pour cela il suffit de déplier les rabats de la plaquette :

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ce qui permet à l’axe et donc aux petites roues dentées de sortir de la cage :

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Et voilà, ne reste plus qu’à sortir le deuxième arbre !

Au final, on a toutes ces pièces (et encore, les arbres eux-mêmes sont pas sur la photo) :

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Pour le remontage… ben y a qu’à faire les mêmes opération dans l’ordre inverse, et le tour est joué. Aucune difficulté pour cette partie de remontage. La seule chose à savoir c’est que les parties strillées des cales carrées va en contact avec le métal, et aussi que pour remonter ça rien ne sert de forcer… si ça coince c’est que vous êtes pas juste !

Monter une boite de 126 sur une Fiat500

Pour les personnes qui ont monté un moteur de 126 dans leur 500, la question s’est certainement posée : est-ce que je monte la boite aussi ou non ? En effet, bien souvent on récupère une mécanique complète (le moteur de la boite) voire la voiture complète qui servira de donneuse d’organes… Donc pour le moulin on est d’accord, pour la boite ça fait pas l’unanimité… Certans préfèrent garder la boite de 500, d’autres ne jurent plus que par celle de 126.

Les différences principales entre ces deux boites sont les suivantes :

– la boite de 126 est synchronisée pour les rapports 2, 3 et 4, c’est à dire que pour ces vitesses plus besoin de faire de double débrayage, ça passe sans craquer. Y a même madame qui pourra s’y mettre 🙂 !

– la boite de 126 a des rapports un peu plus longs, c’est un peu comme quand vous faisiez du vélo, là les rapports permettent d’aller un peu plus vite au plat mais auront un peu moins de punch en montée.

Je n’ai pas encore pu tester les différences donc je ne peux pas vous dire ce que j’ai préféré mais je le ferai dès que les tests auront été faits !

Côté technique, il y a des choses à savoir pour préparer le montage de la boite :

La cloche d’embrayage va de paire avec le moteur, j’entends par là qu’un moteur de 500 ne se monte qu’avec une cloche de 500 et qu’un moteur de 126 qu’avec une boite de 126. La position du démarreur (qui est fixé sur cette cloche) n’est pas la même entre les deux modèles. C’est important parce que si vous achetez un moteur de 126 pour monter sur votre 500 et que vous n’avez pas la cloche de 126 qui va avec ben vous êtes chocolat, pas possible de monter la boite de 500 avec le moteur de 126 sans la cloche de 126 !!! Une fois que vous avez la cloche de 126, vous pourrez choisir de monter la boite de 500 ou la boite de 126, chacune s’adaptant sans problème à chaque cloche.

A part cette différence, les arbres de roues sont différents entre une 126 et une 500. Les arbres de 500 sont plus courts et plus fins que ceux de 126, ce qui implique que si vous voulez monter une boite de 126 sur une 500 (quelque soit le moteur qui y est installé), vous devrez changer les arbres de roues pour des arbres « renforcés » de 500. Ils ont la longeur des arbres de 500 mas l’épaisseur de ceux de 126. Donc du solide. Par contre si vous décidez de garder votre boite de 500 sur une 500 (même si elle est montée avec un moteur de 126 et donc que vous avec monté aussi la cloche de 126), vous pourrez grder vos arbres, pas de soucis !

Quand vous achèterez les pièces nécessaires à la transformation de votre boite de 126 pour une 500, n’hésitez pas de commander le kit complet (arbres + soufflets + bibax etc…) pour env. 70€ comme ça vous serez sûrs que tout est bien ajusté !

Donc en résumé, vous faites votre choix de boite, et ensuite :

– si vous optez pour la boite de 500 vous n’avez que la cloche d’embrayage à adapter, et c’est parti. Je pense même que la cloche se démonte sans avoir à sortir la boite de la caisse… Je n’ai pas testé donc je n’en sais encore rien mais ça semble jouable (il suffit d’enlever les 2 clips, la butée et les 6 gros écrous qui tiennent la cloche + 2 ou 3 des écrous de l’arbre)

– si vous optez pour la boite de 126 vous devrez changer les arbres de roues (y aura un post là desus), remonter la boite et c’est parti…

Comme je disais je vous tiendrai au jus des différents tests de boite une fois que j’aurai monté les deux…

Les différentes parties d’une boite à vitesses

Bien souvent on parle de boite de vitesses, et faut bien avouer que pour moi à part « une pièce qui coûte très cher si elle pète », ben ça restait vraiment très très opaque comme histoire !

Comme j’en avais ramené une d’italie (une de 126 syncronisée) ben c’était la bonne occasion de démonter tout ça et de voir à quoi ça ressemble !

Voici donc à quoi ça ressemble quand on a frotté un peu :

P1060011.JPG

et voici en résumé les 3 parties qui composent cette boîte :

P1060017.JPG

On trouve à gauche la cloche, au milieu le groupe différentiel et à droite la partie de la boite avec les pignons de vitess etc.. qu’on ne verra pas ici (il y a un très très bon tuto sur la réfection d’une boite à vitesses chez Porco).

La cloche est la partie qu’on va « coller » au moteur, côté embrayage. C’est sur cette partie que vient se fixer le démarreur.

Le groupe différentiel se compose du différentiel, des roulements et des arbres de roues. C’est la partie qu’il faut démonter pour adapter des arbres de roues de 500 sur une boite de 126. Je vais faire un billet là-dessus pour détailler cette opération.

Finallement la partie de la boite où se trouvent les pignons de vitesse etc… C’est là que se changent les diverses pièces d’usure (si la 1è lache après 1 mètre par ex). Une fois encore je vous conseille le site à Porco pour cette partie très technique que je n’ai pas du tout abordé dans ma réfection.

Une petite astuce pour un remontage plus facile

Bon alors comme j’avais aucune expérerience avec les moteurs et que j’ai désossé complètement de A à Z le moteur de 650cc, j’ai testé plusieurs « manières » de faire pour le démontage, enfin, dans le démontage en vue du remontage j’entend… Parce que dévisser et tout mettre dans une boite c’est bien vite fait, mais savoir remonter le tout ensuite c’est coton ! J’ai trouvé un moyen assez facile de retrouver à chaque fois le bon écrou / le bon boulon au remontage !

Il suffit, au fur et à mesure qu’on enlève les pièces, de sortir les écrous et boulons, et de les remettre en place sur la pièce une fois enlevée. Bon c’est certainement une combine que tout le monde connaît et que tout le monde fait mais j’avais commencé à démonter les caches en tôle sans le faire et donc rien que pour cette partie de tôlerie je me retrouve avec une boîte pleine d’écrous de 8, de 6, et 10, de rondelles, etc… et va falloir trouver où il faut remonter chaque écrou et boulon ! Pour le reste du moteur par ocntre, j’ai à chaque fois remis en place et ça aide vraiment !

Bon, c’est vrai qu’on perd un peu de temps, car on doit tout remettre en place, et bien souvent enlever pour nettoyer puis remettre le tout en place, alors faut de la patience. En contrepartie, on est sûr de tout remettre à sa bonne place, et pas de visserie perdue !

Voici par exemple une photo de mon volant moteur avec les boulons de fixation du mécanisme d’embrayage remis en place :

DSC_10005.JPG

Pour remonter mon mécanisme il suffira alors d’enlever les écrous / rondelles, de poser le mécanisme et de les remettre en place !

Un autre exemple avec une vue du dessous du bloc moteur où les 15 écrous qui tiennent le carter d’hule en place ont été remises dans leur trou pour ne pas les perdre :

P1040885.JPG

Ca paraîtra évident à certains mais comme c’est nouveau pour moi toutes ces combines je e met sur le blog, des fois que ça servirait à d’autres…

Voyage en Italie !

1er juillet 2007, c’est dimanche, il fait beau… La journée idéale pour une petite ballade en Italie. Depuis chez moi, en moins d’une heure on est à la frontière, allé comptons large, en 2 heures, pause café incluse on est en train de boire un Frizzante au bord du Lac Maggiore.

Départ donc avec Madame, le coffre du Chrysler Voyager vide, le GPS allumé, les fenêtres ouvertes sur un petit air de vacances.

Après avoir pris un repas aux saveurs méditerranéennes, direction la casse de Cannobio, où j’avais rendez-vous pour aller prendre un moteur et une boite de Fiat 126.

Je vous passe les péripéties du trajet, le GPS ne m’indiquant plus les directions à suivre, au final on y arrive quand même.

Petits contrôles de base (toutes les pièces y sont ? Est-ce que le moteur tourne à la main ? etc etc…..) et hop, on charge tout ça dans la voiture.

Prix pour le moteur et la boite : 250€ à l’italienne… j’entends par là que bon le prix c’était 200€ mais à ce prix-là un ami de l’ami du cousin serait prêt à l’acheter bla bla bla… Donc bon j’ai fais le voyage et je suis un peu à la bourre, j’allonge 50€ de plus ! Cela reste malgré tout un prix correct par rapport à ce que l’on trouve en CH (en fait on en trouve pas des moteurs de 126) et surtout c’est pas trop loin de chez moi. Donc hop, on paie, on se serre la main, et c’est parti pour rentrer à la casa.

Pas de problèmes à la douane, ni sur le retour, et nous revoilà chez nous.

Je décharge le moteur et la boîte…

Il est assez sale mais semble en (très) bon état. Avant de commencer à le démonter je vais essayer de le mettre en route, voir si certaines parties mécaniques sont à changer ou non, puis suite à ça on va tout démonter les caches, faire les réglages de base etc… puis enfin monter le moteur sur ma 500.

Pour l’instant on touchera pas à la boite, sauf pour contrôler l’état des pignons mais je ne prévois pas de la monter pour l’instant sur ma 500 (comme j’habite en montagne les rapports courts ça me dit bien !)

En tous les cas je me réjouis de commencer à bricoler un peu là-dessus !