12’000 Watts dans ma 500

Mais non, je rigole ! Jamais autant que ça… Péniblement 2*3W et deux caissons de basses, mais c’est vraiment impec pour avoir un petit fond musical à l’arrêt ou pour comprendre le film lors des open-airs drive-in qui diffusent la bande son sur une fréquence FM…

Donc l’idée était de trouver une installation facile, peu onéreuse, discrète, pour ma Fiat500.

Je suis tombé par hasard sur des petites enceintes de chez Logitech (les R-20) qui ont 2 avantages : elles sont alimentées par un transfo externe 12V et elles sont 15€…

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Le 12V ça tombe pile poil c’est juste le voltage de la Fiat. Donc il suffit de couper le câble d’alimentation des enceintes juste avant le transfo et de le brancher directement au circuit électrique pour avoir le jus nécessaire au bon fonctionnement des enceintes. A vous de décider où et comment vous voulez le brancher. Soit sur du permanent mais il y a le risque de décharger la batterie si vous oubliez d’éteindre les enceintes en partant, soit sur un câble qui n’est alimenté qu’avec la clé tournée… Chaque système a ses avantages, à vous de voir.

Comme elles sont amplifiées, on peut brancher dessus n’importe quel appareil qui a une prise minijack, balladeur, lecteur MP3, iPod, téléphone mobile, enfin, ce qu’on veut, tant qu’on allume le système ça donne du son.

Le caisson de basse permet d’avoir un son plus profond, tout à fait suffisant moteur éteint. Si vous voulez profiter de la musique moteur tournant, c’est pas vraiment gagné, faut pas oublier que dans les fiat 500 le niveau sonor est quand même assez (très) élevé ! Encore une fois, si votre but est d’avoir 2*50W montez pas un système comme celui-là, optez pour un petit ampli de voiture et des haut-parleurs standards. Mais bon comme je disais ça permet un bon fond musical si on roule pas « dans le rouge », et ça dépendra aussi bien entendu du volume sonor de votre source audio.

Question installation des enceintes, j’ai trouvé un tout bon endroit : juste au dessus des passages de roues, à côté des portières :

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En mettant l’enceinte qui a les boutons de marche/arrêt et volume côté conducteur on peut facilement allumer et régler, même en route. Remarquez, dans ces pots de yahourts, même un passager à l’arrière pourrait le faire facilement 😉 ! Les caissons de basses (j’en ai « accolé un deuxième d’une paire d’enceintes défectueuses) ont été installés sous les sièges avant, fixés à la barre transversale avec du fil de fer.

La fixation des deux enceintes a été faite en perçant deux trous depuis le coffre. En repérant l’emplacement via les reliefs de la tôle on y arrive facile. Puis à l’aide d’un fil de fer qu’on passe dans le pied de l’enceinte (montée tête en bas) ça bouge plus !

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Reste à passer les fils derrière les gaines de chauffage et sous les tapis, et à faire sortir la prise mini jack dans le vide poches (enfin, ou vous voulez mais pour moi c’était l’endroit le plus approprié).

Et voilà, reste plus qu’à retrouver un bon tube de Ramazotti, d’ouvrir toit et fenêtres et de passer tout doucement en ville, bras pendant dehors, lunettes de soleil sur le nez, musique à coin !

Alors, elle est pas belle la vie ???

On s’attaque aux soupapes

Voilà, tout est démonté… sauf les soupapes ! Bon là on est un peu comme dans les Tintin, vous savez, quand Milou doit aller chercher de l’aide et qu’il trouve un os… D’un côté il y a un petit ange qui lui dit de pas changer son plan et d’aller chercher l’aide… et le petit diable qui lui dit de manger son os et que le reste peut attendre…

Ben c’était un peu la même chose pour moi : tout était démonté et tout le monde disait que fallait lever les soupapes, les décalaminer et les roder pour ensuite les remettre en place, et bon comme j’avais ni l’outillage ni la connaissance ben ça me disait moyen.

En plus, il me semblait que j’avais frotté un max donc plus de calamine, et une étanchéité tip top !

Bon, alors finalement le petit ange a gagné !

J’ai donc réussi à trouver un shop qui vendait de la pâte à rôder, des rôdoirs, et même qui m’a prêté un sève soupapes !!! Bon j’ai du insister un peu mais au inal il m’a prêté cette outil fort utile !

J’ai donc attaqué ma culasse avec cet outil imposant, et bon vous me croirez si vous voulez mais il m’a bien fallu 30 minutes pour libérer la première soupape ! Eh oui, 30 minutes !!!

En fait, les demies-lunes étaient vraiment très très enfoncées dans la « rondelle » du haut du ressort, et donc ça bloquait. Entre l’outil qui glisse, le réglage de l’ouverture qui était pas le bon (trop ouvert et ça pousse pas assez, trop fermé et pas moyen de bénéfifcier de l’effet de levier de l’outil), ça en a mis du temps ! Et pour le deuxième, pas mieux ! Autant dire que j’en ai eu pour une bonne heure à me mettre en place et à sortir ces 4 soupapes ! Pffff pas facile !

Une fois dehors, ben faut avouer que le côté « ange » avait bien fait de gagner vu l’état des soupapes :

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Donc va falloir gratter tout ça. Le plus gros boulot a été fait par ma brosse métallique en laiton fixée à ma perceuse. C’est assez efficace et ça raie pas la soupape. Bon, là aussi, ça prend du temps pour que ça soit propre. Mais le résultat est satisfaisant.

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Encore du boulot de nettoyage : on s’attaque à la calamine des conduits d’échappement et d’admission. Là ça va un peu plus vite mais bon certains recoins sont dur dur à chopper.

Pour terminer ce nettoyage, il faut procéder au rodage. Pour ce faire, on colle un rodoir (une sorte de tige de bois terminée par une ventouse, un peu à l’image de nos petites fléchettes à ventouse de quand on était petits), on enduit les parties en contact de la culasse et de la soupape de pâte à roder (grosse puis fine), on cole le rodoir sur la tête de soupape et on tourne, un peu à la Koh Lanta quand les participants veulent allumer un feu ! Il est important de régulièrement lever la tête de soupape et de la tourner d’un quart de tour et de recommencer etc… A la fin, on sent dans le rodoir que c’est tout lisse. On nettoie le tout (essence ou diluant), c’est très important car sinon la pate à rôder viendrait user très rapidement le moteur.

Une fois propre, on peut tester l’étanchéité des soupapes : soit on tire 3 traits à 120° les uns des autres à la craie et on tourne quelques tours la soupape contre la culasse. Si tout est bien ajusté la craie aura disparu. Dans le cas contraire il faut continuer.

Un autre moyen de contrôler l’étanchéité c’est de mettre la culasse « tête en bas », avec les soupapes installés mais non fixées, juste posée, et de remplir la culasse avec de l’essence ou avec de l’eau. Si c’est étanche et que l’eau ne coule pas c’est ok, sinon si on remarque que l’eau coule le long des soupapes il faut continuer le rodage. Bien entendu, pour ce test il faut remettre les bougies en place faute de quoi l’eau va pas rester bien longtemps dans la culasse.

NB : Suite à une idée d’Olivier, on peut remplacer l’eau / l’essence par du WD40. En effet il ne s’évapore pas et est tellement fluide qu’il décèlera la moindre fuite… Une bien bonne astuce, merci !!!

Une fois que cela est fait, reste « plus qu’à » remonter les ressorts. A nouveau, c’est pas forcément la combine la plus facile, mais avec (beaucoup) de patience ça passe : on écrase le tout avec le lève soupapes, et on bloque en mettant en place les deux demies-lunes. En relâchant la pince tout se met en place. Un bon truc pour les demies lunes d’ailleurs : pour les enlever facilement, il faut s’équiper d’un petit aimant monté sur une tige, et hop ça s’enlève tout seul ! Et pour les remettre, en les enduisant un peu de graisse ça va « coller » à la queue de soupape et ainsi faciliter le travail !

Voilà en autant dire que ce travail m’a pris toute la soirée et j’ai terminé à … 01h00 ! Le temps de passer à la douche et de consoler le petit ben c’était presque l’heure du réveil (05h30). J’espère que le reste du montage sera pas autant galère !

Enfin, l’important c’est que les 4 soupapes ont été nettoyées, rodées, et sont maintenant remontées. Une bonne chose de faite, merci le petit ange 😉 !!

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Faut qu’ça brille !

Diluant, pinceau, brosse à dent, brosse métallique souple et paille de fer ont été les maître mots du WE !

Ca a frotté dur, dur dur ! Coups de Karcher aussi, dégraissant, huile de coude… Mais ça commence à le faire ! Le moteur et ses « composants sont cleans, reste à faire les « annexes » (carbu, distribution, caches…).

Voilà ce que cela donne :

Les pistons :

Avant :

pistons avant nettoyage

Après :

piston après

Les deux :

les 2 pistons

La culasse :

Avant :

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Après :

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Et le moteur :

Avant :

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Après :

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Et voilà tout est démonté !

Le travail est allé bon train ce WE : j’ai terminé le démontage du moteur. Reste encore à démonter les parties annexes (pompe à essence, carbu, pompe à huile, …) mais pour la partie moteur on est au bout.

Dans l’ordre et depuis le début on a fait comme ça :

  1. Caches en tôle
  2. Alternateur
  3. pompe à essence
  4. Carburateur
  5. Allumeur
  6. ensemble culbuteurs – poussoirs
  7. culasse
  8. cylindres
  9. embrayage – volant
  10. ensemble de distribution
  11. carter d’huile
  12. pistons – bielles
  13. arbre à cames
  14. vilbrequin

J’ai certainement oublié des combines mais en gros c’est ça !

Reste à tout nettoyer et … à remonter !

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(bon je sais là y a encore l’arbre à came et la distrib mais je voulais montrer un peu l’état de saleté pour le suspens de mon prochain post ah ahaah !!!)

Mon petit atelier

J’avais pris une photo de mon atelier mais j’ai oublié de la poster…

Voici donc l’endroit où je passe la plus grande partie de mon temps libre ces derniers jours… Une cabane de jardin de 2.30m x 2.30m transformée en atelier ! Deux tables, des tablars, l’éclairage, l’électricité… et un vieux PC relié à internet pour que je puisse trouver les réponses aux questions qui tomben0t au cours du démontage ! Bien entendu, le clavier et la souris ont été comptabilisés comme « équipement de consommation » et d’ailleurs avec le cambouis difficile de reconnaitre les lettres ;-).

 

Côté équipement, du standard : une bonne boite de clés à cliquets, des clés plates et à pipe, un marteau, des tournevis, des pinces, un compresseur (avec un débouloneur, très important ça !!!), un chargeur de batterie, une vieille baignoire de bébé (pour l’électrolyse), une perceuse avec des embouts « brosse métallique » pour le nettoyage… Enfin, du standard !

 

l’atelier

 

PS : bon j’avoue, pour la photo j’avais bien rangé… je jure pas que chaque fois que je le quitte l’atelier est dans cet état mais chuuuuttttttt…. 🙂 !!

Et on commence le démontage

Bon alors ces derniers jours j’ai continué principalement à transformer ma cabane de jardin en atelier… Me reste plus qu’à installer quelques lampes et prises, et à installer les étagères… Bref, des broutilles !

Donc hier je me suis mis à démonter le moteur tranquillement. Le but de la soirée était d’avoir toutes les parties métalliques, les caches, sorties afin de pouvoir les nettoyer au karsher, les passer à l’élecrolyse, puis les peindre à la peinture haute température.

A ce propos, je n’ai toujours pas décidé de la couleur… Noir, rouge, jaune ??? Je tire plutôt sur le noir mais bon comme j’ai du temps encore avant d’avoir à décider, je me laisse du temps pour cette question cruciale ! 🙂

Donc pour le démontage j’ai commencé par retirer le cache-culbuteurs. Fastoche…

les culbuteurs

Comme vous pouvez le constater l’état de la tôle est … cosmétiquement parlant assez crade :

cache culbuteurs

Bon au moins ce qui est super c’est que le résultat ne peut être que mieux 😉 !!!

Donc je continue, j’enlève le cache qui gère l’arrivée de chauffage, la pompe à essence, l’alternateur, puis le gros cache en escargot avec le ventilateur dedans. Tout est loins, cool !!!

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Donc tout est maintenant paré pour un gros nettoyage de tôle…

Seul hic, deux boulons (ceux qui tiennent le collecteur à la cullasse) étaient en mauvais état (rouille) et ils ont pété dans la culasse… J’ai bien pu retirer le pot mais bon j’ai deux bouts de boulons dans ma culasse !!!

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Je vais pour l’instant pas y toucher, démonter le tout et tout nettoyer et ensuite j’aviserai… Je pense que je filerai la culasse à un atelier du coin qui pourra me retirer ça et installer des filets reportés… On verra je vais un peu causer avec les gens par ici savoir quelle serait la solution la meilleure.

Donc mis à part ça tout roule impec pour l’instant. Beaucoup de photos prises des différents montages, position des pièces, des petites caissettes séparées pour les différentes parties du moteur, et la vie est belle.

La suite… bientôt 🙂 !

Voyage en Italie !

1er juillet 2007, c’est dimanche, il fait beau… La journée idéale pour une petite ballade en Italie. Depuis chez moi, en moins d’une heure on est à la frontière, allé comptons large, en 2 heures, pause café incluse on est en train de boire un Frizzante au bord du Lac Maggiore.

Départ donc avec Madame, le coffre du Chrysler Voyager vide, le GPS allumé, les fenêtres ouvertes sur un petit air de vacances.

Après avoir pris un repas aux saveurs méditerranéennes, direction la casse de Cannobio, où j’avais rendez-vous pour aller prendre un moteur et une boite de Fiat 126.

Je vous passe les péripéties du trajet, le GPS ne m’indiquant plus les directions à suivre, au final on y arrive quand même.

Petits contrôles de base (toutes les pièces y sont ? Est-ce que le moteur tourne à la main ? etc etc…..) et hop, on charge tout ça dans la voiture.

Prix pour le moteur et la boite : 250€ à l’italienne… j’entends par là que bon le prix c’était 200€ mais à ce prix-là un ami de l’ami du cousin serait prêt à l’acheter bla bla bla… Donc bon j’ai fais le voyage et je suis un peu à la bourre, j’allonge 50€ de plus ! Cela reste malgré tout un prix correct par rapport à ce que l’on trouve en CH (en fait on en trouve pas des moteurs de 126) et surtout c’est pas trop loin de chez moi. Donc hop, on paie, on se serre la main, et c’est parti pour rentrer à la casa.

Pas de problèmes à la douane, ni sur le retour, et nous revoilà chez nous.

Je décharge le moteur et la boîte…

Il est assez sale mais semble en (très) bon état. Avant de commencer à le démonter je vais essayer de le mettre en route, voir si certaines parties mécaniques sont à changer ou non, puis suite à ça on va tout démonter les caches, faire les réglages de base etc… puis enfin monter le moteur sur ma 500.

Pour l’instant on touchera pas à la boite, sauf pour contrôler l’état des pignons mais je ne prévois pas de la monter pour l’instant sur ma 500 (comme j’habite en montagne les rapports courts ça me dit bien !)

En tous les cas je me réjouis de commencer à bricoler un peu là-dessus !

Le contrôle technique..

Il y a quelques semaines, j’ai reçu du « Service Cantonal des Automobiles » une convocation pour ce que nous appelons ici l’expertise, comprenez le contrôle technique.

Ni une ni deux, j’en profite pour faire la demande au service des autos de me faire directement passer en véhicule vétéran, c’est à dire

  • véhicule de plus de 35 ans
  • uniquement pièces d’origine (même la couleur !)
  • état impeccable
  • moins de 3’000 km par année

Avec cela, on ne passe le contrôle technique que chaque 6 ans.

Une fois cette formalité effectuée, hop, on file chez le garagiste pour qu’il fasse un lavage du chassis, et direction Sion pour passer l’expertise.

Une fois là-bas, on entre dans la halle de contrôle : un mécano dans la fosse fais les signes pour avancer, un peu à gauche, un peu à gauche, et tout d’un coup… la roue droite monte sur le bord de la fosse !!! Je sais pas ce qu’il faisait, il a pas bien vu, il m’envoyait tout droit dans la fosse !!! Bon, une fois la grosse frousse passée, on recommence, ça passe juste mais ça passe… Ils passent au petit marteau tout le dessous de la caisse (elle est goudronnée donc ils ne voient pas la rouille éventuelle), contrôle la direction, l’état mécanique, les pneus, puis direction du test des freins, de la hauteur des phares puis les amortisseurs.Résultat :

  • phares réglés trop haut
  • pneus arrière craquelés à changer

Sinon tout bon.

Pas eu besoin de représenter le véhicule, juste d’effectuer les modifications signalées et d’aller faire signer un garage agréé, et voilà que 3 jours plus tard je recevais ma carte grise valable pour les 6 prochaines années !

Youhouhouhhhhou …

Etat des lieux (mécanique)…

Passons à la mécanique.

Bon je vous avertis de suite, mon truc c’est plutôt les ordinateurs que la mécanique, alors je vous demande de l’indulgence quant aux termes que je vais utiliser et à la manière dont je vais essayer de parler de la mécanique ! Bon je my jette !

Donc j’ai actuellement un moteur de Fiat500F traditionnel, qui tourne comme une horloge grâce à mon mécano personnel, Antonio (un vrai mécano de Domodossola en Italie qui travaille près de chez moi). Cet hiver, il a sorti le moteur, effectué les vidanges (boîte et moteur), graissages, changements des joints, réfection complète du carbu, réglage de l’écartement des culbuteurs (là je frime j’y comprend plus loud hé hé hé) etc etc etc… Il démarre au quart de tour, vraiment tout bon de ce côté-là.

Voici une photo (je sais le filtre à essence devrait être avant la pompe 🙂 )

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Pour la boîte je n’y connais pas grand chose, mais je sais juste que les rapports passent facilement, que la première ne « lâche pas », et qu’avec un bon double débrayage fait dans les règles de l’art rien ne craque. Je dirais donc que tout est impec de ce côté là aussi.

La seule modificatio que j’ai apporté c’est que j’ai changé le pot d’échappement pour un pôt « sport » (enfin c’est ce que disait l’annonce 😉 ). Je ferai un billet sur le changement de pot plus en détail mais dans l’ensemble on peut dire que le bruit est sympa (un peu plus rond et rauque au ralenti) mais bon ça change pas non plus les perfs de la caisse ! Au moins le bruit au feu est joli et la sortie chromée en fette un peu plus que l’ancien pôt tout rouillé…

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On va même essayer de montrer un bout de film 😉

[kml_flashembed movie="http://www.youtube.com/v/IO4qThbVvPI" width="450" height="337" wmode="transparent" /]L’upgrade à un moteur de 650cc est prévue mais pas encore réalisée… Là aussi il va y avoir un certain nombre de billets à écrire je pense.

Et voilà je pense qu’on a fait le tour le la voiture !!!

Etat des lieux (intérieur)…

Continuons un peu cet état des lieux en jetant un oeil à l’intérieur de la voiture.

L’intérieur est de couleur noir, et il met bien en valeur le jaune tahiti de la voiture (ou est-ce l’inverse 😉 ???). Cet hiver, les panneaux de portes ainsi que les protèges-genoux ont été changés. Les pare-soleils et le cendrier on été repeints en noir mat afin de retrouver une nouvelle jeunesse. A ce propos, le cendrier a été nettoyé et « rallongé » afin de pouvoir profiter d’une plus grande profondeur et ainsi de l’utiliser comme vide-poche (pour le téléphone).

La sellerie n’est plus en état impeccable et il s’agira de mener quelques travaux là-dessus dans les mois à venir. Mais actuellement ce n’est pas une priorité.

La « planche de bord » a quant à elle subi quelques modifications : changement des voyants lumineux par des neufs à led (presque trop puissants d’ailleurs), changement des interrupteurs par des nouveaux chromés, installation d’un allume-cigare à la place où certaines Fiat500 ont leur interrupteur de clé de contact, en plein milieu de la planche.

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Le volant avait une petite fissure (3mm) que j’ai rebouché au mastic, et je donnerai un coup de peinture sous peu pour que tout soit nikel.

Le pommeau de bitesse est en bois, tout simple.

Pour le reste les moquettes sont en bon état mais pas d’origine alors elles gondolent à certains endroit. Si vraiment un jour j’ai du temps on y réfléchira mais bon là aussi c’est pas la priorité…

Sur la banquette arrière, j’ai sanglé un siège pour enfant et comme ça on peut facilement aller se ballader en famille.

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Ah, et une dernière chose, j’ai installé une paire d’enceintes pour ordinateur 2.1 avec caisson surround, les enceintes casées sur les passages de roues gauche et droite (uste derrière l’attache de la portière) et le caisson sous le siège. Comme l’alimentation se faisait via un transfo 12V 1A j’ai connecté en direct au système électrique de la Fit et ça le fait impec. Comme ça je peux brancher mon mobile dessus et comme il fait MP3 et radio le tour est joué. Mais bon, bien souvent le bruit du moteur fait tellement plaisir à entendre (remarquez, avec cette installation même à fond le bruit du moteur est bien présent 😉 !!!).

Je crois que là aussi on a fait le tour de l’intérieur…

Etat des lieux (carrosserie) …

Bon, alors pour commencer on va faire un petit état des lieux de la bestiole !

La carrosserie tout d’abord ! Elle est en très bon état, pas de choucroute, pas de mastic, tout semble d’origine. Cet hiver malgré tout, on lui a donné un petit coup de neuf, il y avait quand même du boulot au niveau du museau (début de rouille autour des phares), des bas de porte et en général il fallait effacer les petits coups reçus ça et là au cours des 35 dernières années ! Maintenant, tout est donc impec de ce côté là. Voici quelques photos :

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Le carrossier qui m’a fait ça a été super au niveau des tarifs et de la prestation ! J’en ai eu plus que prévu pour mon argent (« Bah ton capot moteur l’était un peu terni alors on l’a giclé aussi…« ). On a convenu avec lui de n’intervenir qu’en cas de point de rouille qui apparaitrait dans le futur, mais à ce jour tout est sain et pas d’intervention prévue !

Côté fenêtres, tous les joints ont été changés cet hiver, ainsi que la capote (complète avec le système de tringlerie) et les supports de pare-chocs (j’ai une F qui était montée avec les protèges-phares de L). Les chromes des pare-chocs sont de très bonne qualité, les jantes sont elles en moyen état, un coup de peinture n’est pas exclu ! Les enjoliveurs par contre ont encore un bon chrôme (ravivé avec un peu de paille de fer c’est bôôôôôôô…) .

Restent les tours de fenêtres avant à changer, là ils sont ternes, et les lèches-vitres ne sont plus en bon état.

Voilà je crois que ça donne une bonne idée de l’état actuel de la carrosserie.

Le premier billet !

Voici donc mon premier post !

 

Comme ces temps je passe pas mal de temps à mettre ma Fiat500 en état, et qu’un changement de moteur est prévu, je me suis dit que mettre tout ça « à la vue de la communauté » pourrait être pas mal.

 

J’ai eu l’occasion de trouver beaucoup d’informations sur différents blogs et sites alors je vais essayer moi aussi, à mon niveau, de vous faire partager les différentes étapes par lesquelles je passe avec ma Fiat500.

 

Je ne promet pas une mise à jour quotidienne mais j’essaierai de vous tenir au courant de l’avancement des travaux.

 

En attendant… Bienvenue !